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Action humanitaire au Burkina Faso
BRUNO LALLEMENT PARTICIPE À LA
RECONSTRUCTION D’UNE ÉCOLE AU BURKINA FASO
Il offre les bénéfices de son premier livre « Comment utiliser pleinement votre potentiel »
C’est dans le village de Diapaga à la frontière du Bénin que Bruno Lallement s’est rendu pour participer à la reconstruction d’une école pour permettre aux enfant de ce village de bénéficier d’un lieu pour suivre leur scolarité
BRUNO LALLEMENT RÉPOND À UN APPEL POUR AIDER LES ENFANTS D’UN VILLAGE DU BURKINA FASO
Une aventure particulièrement riche
C’est ainsi qu’il se rendit sur place à Diapaga pour participer, sous un soleil de plomb à la restauration de l’école
Diapaga petit village du Burkina Faso, non loin de la frontière du Bénin, voit alors les ruines de son ancienne école commencer à se transformer en un nouvel établissement qui pourra plus tard accueillir de nouvelles classes équipées d’ordinateurs tous neufs, ce que les élèves n’avaient jamais connus jusque-là.
Alors qu’il venait tout juste de publier son tout premier livre « Comment utiliser pleinement votre potentiel« , Bruno Lallement entend qu’un groupe de jeunes (dont le frère d’Olivia Ruiz) souhaite reconstruire une école dans le village de Diapaga au Burkina Faso mais ne possèdent pas les fonds suffisants pour réaliser ce projet.
L’auteur n’hésite pas un instant et propose d’offrir les bénéfices récoltés par le livre pour que cette école revoit le jour.
Seulement les ventes ne suffisent à récolter la somme voulue à temps, le fondateur de la société Ressources et Actualisation décide alors d’y associer son entreprise pour que les travaux puissent commencer rapidement.
Mais, dit-il, « je ne veux pas seulement signer un chèque, je souhaite participer directement au projet ».
BRUNO LALLEMENT RACONTE SON PÉRIPLE AU BURKINA FASO
« Je ne connaissais pas l’Afrique, je n’y étais jamais allé, c’était pour moi une complète aventure, mais cela faisait longtemps que je souhaitais participer activement à des actions humanitaires et pas seulement en faisant des dons comme j’en avais l’habitude ».
« Lorsque j’ai quitté la France pour me rendre au Burkina Faso nous étions au mois de février. Dans le petit village de montagne où j’habitais c’était l’hiver, il faisait très froid, -10° au moment de partir.
Lorsque les portes de l’avion se sont ouvertes alors qu’il y régnait une température de 18/19°, j’ai soudain eu l’impression que nous entrions dans un four, à 22h il faisait 39° à Ouagadougou. En seulement 24° je suis passé de -10° à +39 et le lendemain à + 47° car nous étions en pleine saison sèche. Mon aventure africaine commençait.
Mais ce n’était que le début, le lendemain matin nous primes le bus pour un voyage qui dura plus de 10 heures et je ne peux imaginer la température qui y régnait car même les passagers du bus étaient tous complètement affalés dans leur fauteuil.
Je crois qu’en moins de 48 heures mon organisme a été soumis à des variations de températures telles que le séjour suffisait à peine pour commencer à m’habituer ».
À propos de Bruno Lallement
En plus d’être écrivain, conférencier et formateur Bruno Lallement est également président fondateur de Planète Altruiste qui oeuvre pour l’avenir de la planète et de ses habitants.
Si vous voulez en savoir plus sur ces actions rendez-vous sur le site de Planète Altruiste
MA RENCONTRE AVEC LES
BURKINABÉS
Bruno raconte
Les burkinabés sont des gens très accueillants et paisibles, je me suis vraiment sentis accueillis dans leur village. Il était aussi facile de discuter avec les hommes en armes chargés de la sécurité que les villageois.
Ce que j’ai beaucoup apprécié chez eux c’est leur curiosité naturelle et désintéressée.
Le Burkina Faso est un des pays les plus pauvres du monde mais j’y ai trouvé des gens authentiquement gentils. Ils vivent dans des conditions réellement très précaires mais ne se plaignent jamais (ça me changeais des français qui ont toujours une bonne raison de se plaindre alors qu’ils ont tout le confort nécessaire).
J’y ai vu des enfants déformés par la malnutrition, des femmes qui chantaient pour ne pas sentir la faim, mais jamais d’agressivité.
J’y suis retourné plusieurs fois, et je remercie ce peuple pour son accueil et sa gentillesse